Il en est, proportion gardée, de la danse comme du spectacle ; elle n’est point illicite de sa nature ; on ne peut donc la condamner d’une manière absolue, comme si elle était essentiellement mauvaise : « Choreæ, dit saint Alphonse de Liguori d’après saint Antonin, per se licitæ sunt, modo fiant a secularibus, cum personis honestis, et honesto modo, scilicet, non gesticulationibus inhonestis 13. » « Quando vero Sancti Patres eas interdum valde reprehendunt, loquuntur de choreis turpibus, aut earum abusu 14. » Saint François de Sales pensait comme saint Alphonse et comme saint Antonin.