Outre que la comparaison est très fausse, parce qu’un oiseau qui est dans une cage, ne paraît jamais la chérir, & qu’il éxprime par son impatience & ses mouvemens, l’envie qu’il a de s’envoler ; cette comparaison est d’une longueur affreuse, on ne sait où elle finit : les quatre prémiers Vers semblent d’abord la terminer, mais le mot ramage qui vient peu après, fait penser qu’elle va jusqu’au bout. […] Voici de la Prose toute pure : Pensez y bien : j’attens pour me déterminer.