Le véritable amour , disait-on, interdit même à la pensée toute idée sensuelle, tout essor de l’imagination dont la délicatesse de l’Objet aimé pourrait être offensée, s’il était possible qu’il en fût instruit.
Le véritable amour , disait-on, interdit même à la pensée toute idée sensuelle, tout essor de l’imagination dont la délicatesse de l’Objet aimé pourrait être offensée, s’il était possible qu’il en fût instruit.