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285. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. — NOTICES. PRÉLIMINAIRES. » pp. 2-100

Cet usage, au jugement même de Riccoboni, donne lieu à des représentations encore plus scandaleuses, puisque la liberté que les Comédiens ont de dire tout ce qui leur vient en pensée, les soustrait à la censure à laquelle les Pieces écrites pourroient être sujettes. […] C’est dans cette espece de comparaison qu’on trouvera que Corneille, par exemple, s’est approché de cette élévation de style & de pensées qu’on admire dans Sophocle, & que Racine respire ce ton de tendresse qui caractérise Euripide.

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