La pensée, les desirs, les mouvemens de l’Acteur & du spectateur ne sont pas moins de péchés commis, parce qu’il voit un mariage qui même n’étant pas le sien ne sauroient légitimer ses fautes. […] Il est pourtant certain dans le christianisme que toutes les libertés qu’on ose prendre, toutes les pensées qu’on se permet, sont de vrais péchés jusqu’à ce que le sacrement ait béni l’union conjugale.