Quels sentimens auraient eu des fidèles, les Païensm êmes, s’ils avaient vu qu’avec cette loi si pure, si sainte, si parfaite, qui condamne jusqu’à la pensée du mal, qui oblige de tendre sans cesse à la perfection, ces fidèles eussent eu besoin d’un commandement particulier, pour n’aller pas aux spectacles ?