… j’ai peine à me l’avouer… j’ai porté dans une âme innocente, pure, le poison de la douleur… Monsieur, c’est assez que vous m’ayiez rendu malheureuse, sans associer à mes peines une victime, dont la vue me ferait mourir de honte.
… j’ai peine à me l’avouer… j’ai porté dans une âme innocente, pure, le poison de la douleur… Monsieur, c’est assez que vous m’ayiez rendu malheureuse, sans associer à mes peines une victime, dont la vue me ferait mourir de honte.