Dieu ne l’entend pas ainsi, ils peuvent justement rechercher quelque adoucissement à leur peine, et s’ils en usent comme il faut, non seulement ils n’y perdront devant Dieu ; mais ils y gagneront beaucoup. […] C’est une étude de plaisir où nous devenons savants sans peine et sans mélancolie. […] La loi les décrie et les hommes les caressent ; s’ils sont innocents pourquoi leur donne-t-on la même peine qui se donne aux faussaires et aux parjures ? […] Cela se trouve sans peine, et la lecture en est si douce qu’il se faut faire violence pour s’en arracher. […] et néanmoins c’est ce qu’on exige de Dieu, sous peine d’être foulé aux pieds.