/ 303
212. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VIII.  » pp. 195-221

Il ne seroit jamais sorti de l’obscurité où il étoit depuis sa mort, si le plaisir de faire un roman licencieux, & de décrier le Clergé, sous le nom d’un homme célebre, ne l’avoit scandaleusement ressuscité, pour en faire l’aliment du vice ; ainsi que son Héloïse, encore plus inconnue, que le même dessein a peint des plus belles couleurs, pour donner de la vogue à ses infamies ; qu’on juge de son mérite par l’idée qu’elle donne d’elle même dans ses lettres. […] Cet éloge de la danse adressé à Terpsicore, dans l’opera des fêtes Greques, est juste, & peint parfaitement le danger de la danse tous ses pas, ses mouvemens, ses attributs, ses regards, ses figures peignant & excitent des sentimens, des mouvemens, des rentations d’impureté.

/ 303