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18. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

Rousseau ait pu dire qu’on la fait valoir au théâtre aux dépens de celle qu’on y peint avec des couleurs odieuses. […] Croira-t-on que les faux dévots eussent du plaisir à s’y voir peints ? […] de faire sentir les conséquences de la sottise de ce villageois ; Molière a donc peint ses personnages d’après nature. […] Mais Molière n’a pas voulu peindre un personnage idéal. […] C’est le caractère du sage tel que je l’ai peint ; mais ce n’est pas le caractère du Misanthrope.

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