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95. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

Il est une passion contre laquelle il serait absurde de se déchaîner sans réserve : c’est la passion de l’amour ; et c’est la seule dont M. […] Mais quel est le vice qu’ils ont ménagé, quelle est la passion qu’ils ont flattée ? […] Le crime et le malheur y sont les effets des passions ; et plus le crime est odieux, plus le malheur est déplorable ; plus aussi la passion, qui en est la source, devient effrayante à nos yeux. […] Je vois même parmi la jeunesse beaucoup de fantaisies, très peu de passion. […] J’aime la comédie à la passion….

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