Cependant ils ne peuvent ignorer par tout ce qui se passe autour d’eux, et peut-être déjà dans leur propre famille les funestes effets de cette conduite inexcusable. […] Si le théâtre du siècle passé n’est pas à l’abri de tout reproche, au moins s’était-il renfermé dans certaines limites : en est-il de même de notre théâtre moderne, où tous les crimes et toutes les immoralités sont présentées avec une crudité plutôt repoussante que dangereuse ?