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409. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32

Une année se passe dans un silence aussi peu possible à une femme, à une amante, à une folle, qui ne se fait Moine que pour être auprès de lui, que la stupidité d'un libertin, d'un désespéré, qui ne pense qu'à elle, qui voit tous les jours son portrait, qui l'a tous les jours à ses côtés et ne la connaît pas. […]  » « Ce serait servir Dieu, lui rendre un digne hommage, Que de passer mes jours dans un long esclavage ! […] La fureur de répandre des nuages sur les objets de la piété, après avoir vilipendé les autres Ordres Religieux, attaque aujourd’hui la Trappe, comme un fort qui passait pour imprenable. […] Ces pieux solitaires, ensevelis dans leurs déserts, absolument morts au monde, ne se mêlent de rien, leurs étonnantes austérités ne sont ni douteuses ni inconnues, elles ont passé en proverbe.

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