Le Théâtre de la Tragédie, où les décences doivent être bien plus rigoureusement observées qu’à celui de l’Opéra, les a trop négligées dans la partie des Décorations. […] On se plaint que nos Tragédies sont plus en discours qu’en action ; le peu de ressource qu’a le Poète du côté du Spectacle, en est en partie la cause. […] On l’éxécute en partie aujourd’hui.