L’esprit saisit bien une pensée, il s’en amuse, mais le profit en appartient au cœur, et la principale affaire est de le mettre de la partie. […] Le sublime semble être sa nature ; la perfection de ses ouvrages dépend de lui ; la solitude, le travail exact, réfléchi, long et pénible, la combinaison qui arrange toutes les parties au profit de son objet, sont des secondes qualités qui sont toujours à la volonté du grand génie.