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325. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Madame de Longueville. » pp. 40-83

La Fronde n’avoit aucun objet ; aucun Frondeur ne savoit ce qu’il vouloit, ni pour qui il se battoit : ce n’étoit que des intérêts particuliers, la plupart cachés, qui ne formoit aucun lien, aucun but.

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