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73. (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16

Voici cette réplique : J’ai lu votre réponse, Monsieur, (je parle au Laïc,) et ne puis recevoir, comme vraies, les assertions qu’elle contient ; mais si j’ajoute, en ce moment, aux raisons que je donnais dans ma lettre à M. […] D’abord, Monsieur, et avant que d’entamer la discussion sur le théâtre et les bals, vous parlez de l’influence qu’exerce un ministre du culte à raison de son caractère et du talent plus ou moins distingué avec lequel un sujet est traité. […] A l’appui de mon opinion sur le théâtre, j’ai parlé dans ma lettre à M. […] Mais vous demandez si je suis bien convaincu qu’il « ne se passe dans un bal rien de plus préjudiciable aux mœurs que les formules d’usage » dont j’ai parlé. […] Mais aussi pourquoi m’avez-vous parlé de la lettre à d’Alembert ?

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