Molière même, lorsqu’il habillait ses Acteurs de la même manière que ceux qu’il tournait en ridicule, se permettait des licences toutes pareilles à celles d’Aristophane, ainsi que je l’ai déjà dit ailleurs(14). […] L’on ne sait à la fin comment appeller un pareil amas de choses si opposées les unes aux autres. […] Parodiez les mauvais Drames, pour empêcher qu’on n’en compose de pareils, & respectez les bons.