Ils savoient exprimer le bruit des flots, le sifflement des vents, le craquement des dents des animaux. » Quelle force, quel merveilleux, une pareille musique ne répandoit-elle pas sur toutes les parties de la Tragédie ? […] Une pareille Tragédie ressembleroit à une oraison d’une seule période ; & Ciceron dit, qu’il n’y a point d’Orateur qui voulût en faire une, encore qu’il eût assez de force de poulmons pour la réciter.