Dois-je cependant refuser à l’amour propre un tribut qui lui est dû, et; qu’on lui prodigue quelquefois avec d’autant plus de fatuité, qu’on paroît déterminé à ne le lui point accorder ?
Dois-je cependant refuser à l’amour propre un tribut qui lui est dû, et; qu’on lui prodigue quelquefois avec d’autant plus de fatuité, qu’on paroît déterminé à ne le lui point accorder ?