Ce reproche est d’autant plus fondé, que la conduite de ces prêtres si mal conseillés, est en contradiction manifeste avec l’autorité temporelle de notre gouvernement, et avec l’autorité spirituelle du pape, ainsi que je l’ai déjà démontré dans le courant de cet écrit. […] En frappant d’anathème des acteurs de théâtre, et en exigeant d’eux l’abjuration de leur état, comme incompatible avec l’exercice de la religion, le clergé commet un véritable délit contre la puissance du prince, contre celle des lois, et contre l’autorité du pape.