Ce qui passait peut-être parmi les Païens pour une plaisanterie et pour un amusement, est un sujet d’horreur pour des Chrétiens. […] Aussi Saint Justin le Martyr et quelques autres Pères ont-ils regardé Socrate comme un homme d’une créance non païenne, et ont cru qu’il avait souffert pour l’unité d’un Dieu. […] Il reste donc qu’Aristophane était bon Païen, ou n’était rien du tout. […] Ces pitoyables fictions peuvent-elles s’allier avec la Théologie des Païens ? […] Ce n’est point assez ; le Traducteur Chrétien enchérit alors sur l’Auteur païen.