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309. (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264

Quant à ce que disent les édits, que c’est offenser Dieu de se battre, c’est un avis fort pieux sans doute ; mais la loi civile n’est point juge des péchés, et, toutes les fois que l’autorité souveraine voudra s’interposer dans les conflits de l’honneur et de la Religion, elle sera compromise des deux côtes.

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