) qu’il n’y a point de véritable liberté dans l’homme, & qu’on ne peut se former aucune idée de ce mot appliqué à la volonté , Phédre & Oedipe nous apprennent que le Ciel punit l’homme des péchés qu’il lui fait commettre. […] C’est à vous que je m’adresse ici, Prédicateur Apostolique, qui vous appuyant sur la Sainte Ecriture, nous disiez il y a douze jours que la priere d’un pécheur qui dans le secret de son cœur conserve quelque attache pour son péché, est une priere exécrable : Comment donc faut-il appeller ces invitations, venite justi, exultemus , qui nous sont faites de la part de ces pécheurs publics qui s’affichent tout le reste de l’année pour nous inviter à leurs assemblées criminelles ? […] Qui suis-je pour te reprocher les péchés de ta jeunesse ?