Voici une note indiquée dans ses corrections, qu’il faut que je te cite ; elle est tirée d’un ouvrage intitulé : Instruction Chrétienne, t. 2, l. 3, chap. 16, imprimée chez Rey à Amsterdam. « Il peut y avoir des Spectacles blâmables en eux-mêmes comme ceux qui sont inhumains, ou indécens & licentieux ; tels étaient quelques-uns des Spectacles parmi les Payens. […] Rappelle-toi cet air du Devin de Village qui t’a tant ennuyé ainsi que le reste de l’ouvrage ; c’est à Frèron que je suis redevable de l’avis que je te donne : puisque c’est lui qui a découvert que les airs du Devin étaient des Cantiques pillés aux habitans de Genève, auxquels il a changé quelques notes pour leur donner un air de nouveauté : puise ainsi que lui dans ce magazin évangélique, seul moyen de te satisfaire.