Cependant, on ne doit point être surpris de les voir s’oublier dans les choses qui sont ici reprochées à nos Poètes : ils n’adoraient pas des Dieux irréprochables : ils n’avaient qu’une idée assez confuse d’une autre vie ; et ils ignoraient les sujets de terreur dont nous devons la connaissance à la révélation divine.