Ce barbare tragique n’a pas sans doute oublié le langage affreux et facile de la rage et du désespoir, que l’on traite de sublime, parce qu’il attaque les Dieux et les Rois, et qui par cette même raison ne mérite que l’indignation et le mépris. […] Voltaire peut-il oublier que ce qu’il canonise dans Brutus, il l’a anathématisé dans la Henriade ? […] Des crimes des Tyrans le ciel semble complice : Il oublie, ou du moins il suspend la justice.