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89. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93

Osera-t-on disputer à Corneille le mérite d’un genre dont il fait l’éloge ? […] Cet illustre Critique s’exprime ainsi ; « Il n’y a rien quelquefois de plus sublime que le simple même4. » Qu’on ose encore après cela faire le procès a quelques Poèmes de l’Opéra-Bouffon. […] Dès que le goût se relacha, dès que la frivolité vint s’emparer des têtes Françaises, toujours prêtes à la recevoir, il marqua l’instant de son triomphe, il osa se montrer au grand jour, & devint dans peu le Spectacle de la nation. » Voilà, je l’avoue, une critique à laquelle il est assez difficile de répondre.

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