La grande faute que j’ai faite, et dont je ne puis me disculper envers lui, c’est, Monseigneur, de l’avoir osé faire imprimer sans sa permission. […] 1 » Il est donc vrai, Monseigneur, que le Pape avait un Théâtre où sa Sainteté occupait la première place, l’Empereur la seconde, et le Doge de Venise la troisième : Eh qu’y pouvait-on représenter de plus beau, de plus pur, et, si je l’ose dire, de plus profitable que les Pièces de Corneille et de Racine ?