on oserait lui dire : C’est pour vous, Seigneur, c’est pour l’amour de vous que je vais aux spectacles ; c’est pour vous obéir que je vais rendre hommage au démon, qui préside à ces assemblées ; ce sera votre esprit qui m’y conduira, ce sera vous qui serez le principe de cette action ; c’est par votre croix que vous me l’avez méritée ! […] N’est-ce pas au spectacle que l’on voit ce que le monde, partout ailleurs, n’oserait offrir ? […] Trahisons, fourberies, violences, cruautés, tout est employé : comme le meurtrier de Naboth, il ose tout tenter, sans respecter ni le sacré ni le profane.