L'auteur à qui je réponds est un de ces sages réformateurs, mais comme il est encore apprenti dans le métier, il n’ose pas condamner ouvertement ce que nos prédécesseurs ont toujours permis. […] Vous avez tort, M. de Molière : il fallait que le père fût absolu, qu’il parlât toujours sans que le fils osât lui dire mot, que la religieuse, bien loin de paraître sur un théâtre, fit dans son couvent une pénitence perpétuelle de ses péchés, et cet athée supposé n’en devait point échapper ; ses abominations, toutes feintes qu’elles étaient, méritaient bien pour leur mauvais exemple une punition effective. […] Ne nous dites point qu’il tâche d’expliquer par ses grimaces ce que son Agnès n’oserait avoir dit par sa bouched.