Prinn fut cité devant la chambre étoilée, condamné à voir brûler son beau livre, dont le P. le Brun a composé le sien, et lui les oreilles coupées. » Il n’y a pas un mot de vrai dans ce récit, comme on peut le voir dans Rapin Thoiras, et tous ceux qui ont écrit l’histoire d’Angleterre.