Car le Concile d’Agde rapporté par Gratien, ordonne à tous ceux qui sont engagés dans cette profession sainte, de n’aller point aux festins des Noces, et de n’assister à ces assemblées, où l’on chante des chansons d’amour, et où l’on danse ; de peur que les yeux, et les oreilles, que la divine vocation applique aux saints ministères, ne soient souillées par la vue des mouvements qui peuvent laisser des impressions d’impureté, ou par des paroles indiscrètes, et lascives. […] Et la raison du Concile d’Agde n’a pas moins de force touchant les Danses secrètes qu’à l’égard des publiques, puisqu’il sera toujours vrai, que l’Ecclésiastique qui assiste à la Danse, expose sa vue, et ses oreilles, qui sont consacrées à Dieu par l’application au service de l’Autel, à la profanation, et au danger évident de salir sa pureté.