.), et toutes les autres, comme l’ordonnent tous les Rituels : « Ad munus patrinorum non admittantur Comœdi. » A quelles mains l’Eglise confierait-elle l’éducation des enfants ? […] Le premier, sans s’arrêter à des fins de non-recevoir, cherche la vérité dans le tribunal de la pénitence, et s’il trouve qu’il n’y a pas eu de mariage par le défaut de quelque condition essentielle à sa validité, il ordonne la séparation et rend la liberté aux parties. […] On voit une lettre de Théodoret, où il raconte qu’un Evêque qu’on avait ordonné malgré lui, ne crut pas pouvoir faire une plus authentique abjuration de la sainteté de son état qu’en allant à la comédie, « ita ut in theatrum vadens spectaret lusos », à peu près comme S.