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365. (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45

Rien n’est tant condamné par ces grands Saints que les Comédies ordinaires, puisque les cœurs s’y enflamment d’un amour impudique : ce qui est « très déshonnête » ; et qu’ils s’y livrent aux créatures, ou qu’ils s’y enivrent d’eux-mêmes : ce qui est le comble de l’impiété.

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