La vertu seule a droit de faire des heureuxbf. » Outre que les spectacles n’offrent pas un délassement convenable, ni digne d’un chrétien, ils n’offrent pas même un délassement physique. […] Ils n’offrent qu’une image trompeuse du bonheur lui-même, qu’on ne trouvera jamais que dans l’exercice de la vertu. […] Si nous aimons la saine doctrine, le spectacle qu’elle nous offre est bien au-dessus des lettres humaines : combien de sentences profondes, de cantiques sublimes dans les livres saints !