Non, il n’est pas possible que l’église ferme les yeux sur la conduite de quelques prêtres fanatiques et ignorants ; elle ne peut pas autoriser ce rigorisme injuste envers les comédiens. […] Molière, le plus parfait de nos poètes comiques, et l’un des plus célèbres comédiens qui aient honoré la scène, était coupable d’un crime irrémissible aux yeux du fanatisme, il a fait Tartuffe, et les hypocrites, présents et futurs, ne le lui pardonneront jamais.