Il croit donc que ceux qui dansent les jours des Dimanches pèchent grièvement ; si ce n’est peut-être, dit-il, que ce fût dans l’occasion d’une joie publique, et extraordinaire, comme pour quelque victoire, ou que cela se fît secrètement : mais ces exceptions ne sont point justes, et ne doivent point être par conséquent reçues. […] Mais revenons encore sur ce même sujet des Fêtes, à l’exception que ce même Docteur fait, sur les occasions importantes d’une réjouissance publique, comme serait quelque victoire remarquable.