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94. (1825) Encore des comédiens et du clergé « NOTICE SUR LE MINISTERE FRANÇAIS EN 1825. » pp. 87-100

Ce bien et ce mal dont je veux parler, exigeraient ici de grands détails qui seraient curieux et dans lesquels j’entrerais par la suite et probablement jamais, puisque l’opposition va être muselée par de nouvelles ordonnances et règlements. […] A coup sûr, aucun nouveau ministre ne parviendra au fauteuil ministériel s’il n’est congréganiste ou jésuite de robe courte. […] Il est donc inutile d’avoir de nouveaux ministres, tant qu’il y aura des jacobinières jésuitiques et des clubs théocratiques, qui, à l’instar des affreux clubs jacobins de la révolution, neutralisaient et maîtrisaient despotiquement l’autorité légitime du gouvernement.

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