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323. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174

C’est une conjuration contre la vie d’Auguste, tramée par sa fille adoptive et ses deux favoris les plus comblés de ses bienfaits, qui, au moment d’être exécutée, n’est découverte que par la lâche jalousie de l’un d’eux, lequel veut enlever à l’autre sa maîtresse ; et toutes ces horreurs, loin d’être punies, sont récompensées par Auguste, qui voyant l’inutilité de ses rigueurs passées contre les conjurés, espère de ramener les cœurs par le pardon et de nouveaux bienfaits. […] A ce nouveau César soit un nouveau Brutus. […] « Un tas d’hommes nouveaux proscrits par cent décrets, Dispersés dans l’abîme où son orgueil le plonge.

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