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101. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIV. Le sentiment, juge plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier. Pourquoi ? Amour du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on employe pour les éluder.  » pp. 129-150

Si l’on en excepte les Journalistes, qu’est-ce qui fait la critique de nos piéces nouvelles, dans le Parterre, ou par la voie de l’impression ? […] S’il est distrait par les autres, son esprit est de nouveau entraîné dans une foule de refléxions que leur différence amène naturellement, il se dédommage, en pensant, d’avoir moins d’impressions qu’il n’en espéroit. […] Que leurs maladies nous causoint la plus vive tristesse, & que leurs Confréres ne pouvoient ouvrir la scène qu’auparavant ils n’eussent dissipé nos allarmes par des nouvelles consolantes ?

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