Que l’on médise sur le théâtre ou dans un cercle, c’est toujours la malignité humaine qui sert d’épouvantail au vice, avec cette différence, qu’au théâtre on peint les vicieux, et que dans un cercle on les nomme.
Que l’on médise sur le théâtre ou dans un cercle, c’est toujours la malignité humaine qui sert d’épouvantail au vice, avec cette différence, qu’au théâtre on peint les vicieux, et que dans un cercle on les nomme.