Nous allons citer encore au nombre des comédiens les clercs de la Basoche, qui s’étaient rendus recommandables depuis longtemps par leurs poésies. […] On pourrait encore citer un grand nombre de gentilshommes qui, jusqu’à nos jours, par goût encore plus que par nécessité, se vouèrent à la profession de comédien, qui d’ailleurs avait obtenu le privilège extraordinaire et bien remarquable de ne point déroger à la noblesse.