On ne doit donc pas s’étonner, si de nos jours encore, le nom seul de Molière, est si odieux aux hypocrites de la présente époque. […] Je voudrais en inscrire ici les noms ; pour en décorer mon écrit. […] Je me permettrai seulement de proclamer le grand Talma, les Mars, les Duchesnois, les Bourgouin, etc., etc., en regrettant de taire le nom de tant d’autres non moins illustres.