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4. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

On voyait du sang, il est vrai ; mais on ne souillait pas son imagination de crimes qui font frémir la nature. […] Il y a un amour physique répandu dans la nature, et qui en est l’âme et le soutien. […] Ces désirs, la nature les donne, elle sait bien les réveiller. […] L’un y cause de douces émotions, l’autre fait frémir la nature. […] L’homme a ses désirs, la nature les lui donne ; il faut qu’il les fixe, ou qu’il les répande.

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