Aussi Dioclétien dépensa le moins qu’il put dans son triomphe après la guerre des Perses et dans les jeux qu’il donna ensuite à toutes les nations de la terre que cette solennité avait attirées à Rome. […] Et dans les Notes qu’il avait données auparavant sur le Concile d’Elvire, il cite les lois Civiles et Ecclésiastiques qui déclarent les Comédiens infâmes, et défendent la fréquentation des Théâtres, et parle de plusieurs Auteurs habiles de sa nation, qui ont traité la même matière. « Plural etiam congerunt, dit-il, de hac nefaria arte Mariana de spectac. cap. 12. cum seq. […] On représentait les unes et les autres avec les habits que portait chaque nation.