Je n’oublierais pas assurément Dom Sanche, si l’Auteur, comme vous l’avez très ingénieusement démêlé en parlant de Molière, n’eût, à l’exemple de ce fameux Comique, défiguré un si bel ouvrage par un dénouement postiche, contraire aux mœurs établies dans les quatre premiers actes de la pièce, et amené seulement pour ne pas blesser les préjugés de sa nation, et pour s’assurer davantage des applaudissements du parterre, qu’il a préférés aux éloges du sage3 et au but le plus noble qu’ait pu se proposer l’art dramatique.