Tout fut terminé par ces paroles tranchantes et décisives : « Je suis chez moi, tout est à moi ; fille de l’opéra, je suis ma maîtresse, je ne dépends de personne. » Se peut-il, conclut l’Auteur, que d’honnêtes gens soient assez aveugles pour placer si mal leur argent et leur cœur, et consacrer leurs plus beaux jours à des filles de théâtre nées dans le libertinage ?