N on, mon adorable Adelaïde, ne venez pas seule ; ce mariage, les embarras qui l’accompagnent, les affaires de monsieur Des Tianges, rendent votre présence nécessaire à ce cher époux. […] Elle consentit à m’entendre ; j’ai rendu devant elle deux des Rôles que j’avais appris : je l’ai vue satisfaite, enchantée. — Dès aujourd’hui, me dit-elle, si vous êtes bien déterminée, je ferai les démarches nécessaires —. […] Elle m’a dit qu’elle avait vu M. le Duc d’**, qu’elle avait obtenu sur le champ l’ordre qui m’était nécessaire, & qu’elle allait me le remettre.