Deux choses sont nécessaires pour introduire des personnages sur la Scène sans préjudice de leur réputation ; l’une, qu’ils n’y soient point décriés par autrui, et l’autre qu’ils ne s’y décrient pas eux-mêmes : cette dernière voie de flétrir les gens est la pire ; parce qu’il semble alors qu’un homme soit de son propre fonds ce qu’on le fait paraître.